Résumons cette motion tendant à opposer la question préalable, s'agissant d'abord des grands équilibres du projet de loi de finances. Je ne reviens pas sur la prévision de croissance, nous nous en sommes expliqués. Nous ne pouvons pas non plus approuver la politique fiscale qui se traduit là aussi par une surestimation des recettes et une série d'annonces dont le coût sera répercuté sur les années suivantes.
Sur le volet dépenses, le Gouvernement renonce à une maîtrise qu'il présentait comme l'alpha et l'oméga. Plus un mot des 50 milliards d'euros d'économies annoncés.