Dans mon département, l'État a procédé à des découpages : dans les zones à manifestation d'intérêt, la rentabilité est immédiate et les opérateurs en font leur affaire. Pour tout le reste du territoire, il faut s'en remettre aux réseaux d'initiative publique. Comment faire alors pour convaincre les collectivités de s'engager ? L'étude que notre département a menée révèle des éléments intéressants : les différences de coûts sont inimaginables ; cela va de 300 à 6 000 euros en fonctions des zones à desservir.