Il s’agit d’un véritable problème de santé publique, eu égard aux conséquences de la brucellose pour les humains et les troupeaux domestiques.
Lorsqu’un troupeau domestique de bovins ou d’ovins est contaminé par la brucellose, la décision d’abattage est immédiate. Ce n’est pas le cas pour les bêtes sauvages : l’incohérence est totale ! Je voterai l’amendement n° 175 rectifié.