Avec l’un de vos lointains prédécesseurs – naturellement, ce sont des problèmes qui se posent chaque année avec l’hiver et à l’approche de Noël ; nous en parlons donc avec le sourire –, j’utilisais l’expression de « serpillère législative », ce que l’on essaie de passer pour donner l’impression de propreté, pour vider les tiroirs. Cette expression est sans doute excessive et elle est à mettre sur le compte d’une fin de séance.
Pour autant, je le répète, s’agissant du collectif budgétaire de cette année, un dispositif fiscal lourd qui aurait été étudié depuis des mois et dont on ne nous aurait pas parlé alors que l’on aurait pu le faire, nous ne l’adopterons pas.