Toute l'Union européenne est concernée par le problème des migrations.
Jusqu'à présent, des pays comme la Grèce, l'Italie où Malte n'ont guère bénéficié de la solidarité des autres États membres. Et pourtant, les frontières extérieures de l'Europe sont des frontières communes. Au-delà de l'aspect humanitaire qui nous interpelle tous, il importe d'encourager une « prise en charge européenne » qui paraît bien lente à se mettre en place. Je pense aussi que la relance de l'Union pour la Méditerranée pourrait apporter des solutions.
Il convient d'être modeste sur un sujet comme celui-là. Mais, à l'évidence, les États membres du nord de l'Europe, moins exposés, devraient mieux assumer leurs responsabilités.