On aurait pu prendre contact tout de suite mais le bureau français n'a pas voulu donner l'impression de s'imposer dans l'enquête. En pratique, ces contacts se sont déroulés dans un délai très rapide.
Dans l'affaire de la viande de cheval, le pôle santé publique de la Cour d'appel de Paris n'a pas saisi Eurojust. Une coordination a ensuite été enclenchée à l'initiative du Royaume-Uni.