Madame la sénatrice, vous avez tout à fait raison. Outre le rapport du CESE, Jean-Denis Combrexelle avait également modestement souligné en 2010, dans le rapport intitulé Bien-être et efficacité au travail, le point que vous soulevez. Une analyse avait permis de mettre en lumière le fait qu’une école d’ingénieurs sur vingt abordait les questions du dialogue social et de la sécurité au travail – un point encore plus inquiétant. De même, nombre de masters en ressources humaines traitent ces questions un petit peu par-dessus la jambe. Or il faut former les acteurs des deux côtés.
Je m’en ouvrirai volontiers à ma collègue de l’enseignement supérieur pour que nous voyions ensemble ce qui peut être fait. Car il y a urgence.