Quatre ans, c'est simplement le temps nécessaire à une structuration digne de ce nom. On ne peut donc parler d'engagements.
La France a besoin de garder des outils industriels de production. Même si l'Allemagne est peut-être plus compétitive, nous avons besoin d'être rassurés.
Monsieur le président-directeur général, vous nous avez fait comprendre que Siemens était plus avancé qu'Alstom en matière numérique. Avez-vous déjà une idée des développements de la production, à l'avenir, dans ce domaine ?