La rétention de sûreté relève de la défense sociale, c’est encore un autre sujet.
Nous ne pouvons pas traiter au détour d’un amendement cette question de la santé mentale en prison, qui est bien trop vaste. Le nombre de malades mentaux en prison est d’ailleurs tel qu’on ne sait plus très bien s’il faut parler de « détenus fous » ou de « fous détenus » !
Nous aurons donc à reprendre ce dossier au moment de la réforme de l’hospitalisation psychiatrique.