Où est la cohérence entre le principe affiché d’une sanctuarisation des crédits de la politique de la ville et la suppression de 46 millions d’euros d’action en plein été 2017 ?
Monsieur le Premier ministre, il y a l’épreuve des mots, il y a aussi l’épreuve des faits. Oui à une mobilisation nationale, dans le respect des 5, 5 millions d’habitants de ces 1 500 quartiers, mais surtout pas dans une logique comptable. Ces habitants n’ont pas à justifier de leur appartenance à la République française.