Nicolas Hulot a reconnu, ce que M. le secrétaire d’État vient de confirmer à l’instant, que le calendrier initialement prévu de réduction de 50 % de la part du nucléaire dans le cadre de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte n’était pas tenable. Les objectifs étaient-ils trop ambitieux ? La mise en œuvre d’énergie de substitution a-t-elle été trop timide ? Surtout, nous avons frôlé la rupture en 2017. On sait que la situation sera de nouveau très tendue durant l’hiver 2018 du point de vue de l’approvisionnement.
Où en sommes-nous du mix énergétique ? Quid de la sécurité d’approvisionnement au quotidien ? L’éolien, c’est bien lorsqu’il du vent ; le solaire, c’est bien quand il y a du soleil ! D’où ma question sur le stockage des énergies. J’aimerais vous entendre sur ce sujet, monsieur le secrétaire d'État, car nous avons besoin de sécurité en matière d’approvisionnement, à la fois pour nos concitoyens, pour l’économie et pour nos entreprises. Nous avons surtout besoin d’y voir clair sur à la volonté énergétique de notre pays.