Le projet de loi aboutit à transférer une charge auparavant assumée par l'algorithme d'APB sur les équipes des universités qui vont devoir, dans les filières en tension, examiner les dossiers de tous les candidats. C'est une bonne chose mais les universités sont-elles en mesure d'absorber cette nouvelle charge de travail ? L'avez-vous chiffrée ?