Aujourd'hui, les étudiants n'ont pas tous le même accès au sport, en raison des frais inégalitaires selon les établissements. Cette contribution donne à tous le droit au sport et à la culture pour une somme raisonnable. Ce n'était pas le cas avant. Nous sommes attentifs à ce que le résultat soit accessible à tous. Si l'offre est sur un campus, ceux qui sont hors campus n'y ont pas accès. C'est la même problématique que pour le CROUS. Il faut garantir l'accès des services à tous les étudiants, même ceux de sites délocalisés.
Nous sommes attachés au maintien du FSDIE. Le risque de clientélisme se pose aussi faute de cadre suffisant. Je me réjouis que le représentant de l'UNI l'ait signalé. Souvenons-nous des 50 000 euros versés par la région Auvergne-Rhône-Alpes à l'une des sections locales de l'UNI, ce qui nous avait semblé complètement anormal.