J'ai apprécié nos échanges précédents, monsieur Petit, notamment lorsque nous vous avions reçu à l'occasion de la préparation de la loi de finances pour 2018. Vos six priorités me conviennent parfaitement.
Au moment de son départ, M. Fuchs avait regretté que la recherche ne soit plus une priorité nationale, quel que soit le Gouvernement, surtout comparé à la situation en Allemagne. Quelles seraient les éventuelles marges de manoeuvre que vous avez évoquées dans votre exposé liminaire ?
Selon vous, le CNRS est le vaisseau amiral de la recherche, mais avec des salaires peu attractifs et un statut précaire pour les chercheurs, comment comptez-vous redonner de l'attractivité à cet organisme ?