Je connais bien le SIAAP. Traditionnellement, le département de la Seine jadis, le SIAAP maintenant, intervient sur les collecteurs, les stations d'épuration ; il a un pouvoir de substitution par rapport aux communes. Le problème ici, c'est la dépense supplémentaire imposée pour les Jeux : il faut porter la Seine à l'état d'eau de baignade pour les épreuves de triathlon et de 10 kilomètres en eau vive. Or les trois départements de la petite couronne qui participent au syndicat aux côtés de Paris invoquent d'autres projets d'amélioration dans le bassin versant.