À une certaine époque, la prime à l’herbe atteignait 60 euros par hectare et celle accordée au maïs fourrage 490 euros. Peut-on jeter la pierre aux éleveurs qui, dans ces conditions, ont changé leurs pratiques agricoles ? Je ne le crois pas !
C’est pourquoi je souhaite remettre ce point à l’ordre du jour dans le cadre de l’amendement n°182 rectifié ter. Nous devons utiliser les moyens existants de la politique agricole commune pour réellement favoriser et encourager l’élevage à l’herbe dès qu’il est possible.