Je me ferai ici, en quelque sorte, la porte-parole du rapporteur de la loi relative à l’orientation et à la réussite des étudiants, Jacques Grosperrin, avec qui je me suis entretenue de la transparence des algorithmes ces derniers jours.
Il est vrai que, lors des débats, M. Grosperrin s’est montré très sensible à l’idée de publier les algorithmes locaux, afin que l’on ne retombe pas dans un système de « boîte noire ». En effet, APB avait fini par être appréhendé de cette façon : on avait l’impression que toute décision humaine avait disparu et qu’on s’en remettait totalement à la machine.