M. Laurent Duplomb. La problématique, c’est que l’intérêt général ne se définit pas comme la somme des intérêts particuliers. Ce n’est pas parce que trois ou quatre agriculteurs refusent le système de la coopération, parce qu’ils n’ont jamais été coopérateurs – ils se sont peut-être retrouvés dans une coopérative malgré eux – et veulent aller ailleurs, qu’il faut tout déstabiliser, tout casser, pour faire plaisir à ces cas particuliers.