La Haute Assemblée vous demande de respecter son travail. Nous sommes scandalisés par votre propos. Certes, vous le glissez au travers de quelques mots sympathiques et sur le ton aimable qui est le vôtre, mais nous ne pouvons accepter de tels procédés !
C’est pourquoi je m’associe naturellement à la demande de suspension de séance, qui a été présentée par le président Retailleau.