Si j’ai mal compris le sens de ces interventions, veuillez m’en excuser !
Par ailleurs, sur le fond, nous savons tous que, pour moitié au moins, sinon pour les deux tiers, notre problème de chômage structurel est lié à des déficits de formation. Pense-t-on réellement que les outils utilisés actuellement ont donné des résultats satisfaisants et qu’il faut se résigner à ce chômage structurel ? À mon sens, s’il y a un domaine où il faut innover, bousculer les habitudes, c’est bien celui-là. Ceux qui y sont opposés jouent le rôle de conservateurs. Cela a certes été l’un des rôles du Sénat, mais pas le seul !