Mon expérience en matière d’écriture de la loi et ma présence assidue à la Commission supérieure de codification m’incitent à suggérer au Gouvernement de revoir sa position. Remplacer un terme par un autre dans un ouvrage aussi massif qu’est le code du travail, sans en vérifier l’impact, serait pour le moins une imprudence de législateur.