M. Jacques Peyrat, rapporteur de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées. Mes chers collègues, je voudrais tout d'abord, remercier Mme Bergé-Lavigne et M. Goulet d'avoir accepté de céder leur tour, M. le président d'y avoir consenti, et M. le secrétaire d'Etat d'avoir fait semblant de solliciter cette modification de l'ordre de nos travaux alors que c'est moi qui la sollicitais : c'est d'une extrême délicatesse, ce qui ne m'étonne ni d'un membre du Gouvernement ni d'un Marseillais !