Ma proposition ne vise ni à parler du véganisme, ni des abattoirs. Philosophiquement, l'animal n'est pas un bien. La question du vivant doit être pensée. Les animaux sauvages ne sont pas des biens, pourquoi les animaux domestiques le seraient-ils ? Je ne comprends donc pas pourquoi cela a été renvoyé à la commission des affaires économiques. Une fois encore, nos concitoyens avancent plus vite que nous sur ces questions.