On est totalement dans le champ concurrentiel, puisque ce service est facturé, comme le sont les prestations des autres acteurs du développement agricole.
On ne peut pas à la fois exiger de la profession agricole qu’elle réponde à une attente très forte de la société et refuser de lui donner les moyens d’être au service de nos territoires et efficace économiquement.
Cet amendement a tout son sens, d’autant qu’il est cohérent avec les dispositions de la loi ÉGALIM.