Nous en arrivons à la seconde partie de nos propositions.
Cet amendement tend à faire passer de 1, 75 % à 1 % le taux applicable au chiffre d’affaires des grossistes-répartiteurs. Notre proposition ne correspond pas tout à fait à celle de la commission, mais je pense qu’il faut, sur le principe, montrer à ces professionnels que nous avons la volonté de les aider transitoirement, en attendant que des propositions soient faites. Si nous ne faisions pas cela, les pharmaciens nous demanderaient pourquoi.
Nous sommes très sollicités par les pharmacies rurales, qui sont les porte-parole des grossistes-répartiteurs. Elles souhaitent en effet être livrées deux fois par jour sept jours sur sept, et craignent que les répartiteurs ne réduisent à terme leurs services.
Notre proposition concerne donc, aussi, les pharmaciens de nos territoires ruraux.