Madame la ministre, nous ne remettons pas en cause la pérennité de l’activité des grossistes-répartiteurs. Vous évoquez la vente directe ; mais nos pharmaciens ne se feront pas livrer directement par les laboratoires pour éviter de passer par les grossistes ! Ce sont bien ces derniers qui sont les intermédiaires et qui gèrent le stock.
Il s’agit d’apporter une solution non pas pérenne, mais transitoire, en attendant les conclusions de la concertation dont on pourra voir le résultat, je l’espère, dans la prochaine loi de finances. On nous avait déjà dit, l’année dernière, qu’elle était sur le point d’aboutir…
Cela étant, je retire mon amendement, au profit de l’amendement n° 215 rectifié.