Les appels d'offres européens comprennent toute une phase de consultation, avec des draft papers qui circulent. Nous ne sommes pas assez présents dans cette phase ; nous avons donc des marges de progrès s'agissant de notre mobilisation et de notre capacité à faire remonter nos messages.
Par ailleurs, la présence de Français dans les comités d'experts de la Commission est insuffisante. Ce travail est de longue haleine ; nos collègues ont parfois des réticences, liées à des problèmes de langue de travail ou d'interruption de la carrière académique. Mais nous devons nous mobiliser sans relâche sur ce problème de la présence de Français dans les instances européennes qui définissent les programmes de recherche.