Le président François Hollande avait réussi à maîtriser le budget de l'Élysée. Il est dommage que ses efforts n'aient pas été repris. Il y a aujourd'hui une poussée dépensière, qui sera peut-être limitée l'année prochaine puisqu'il y a eu un licenciement...
Même si nous suivrons le rapporteur, je regrette que l'Élysée ne prenne pas sa part à l'effort global demandé à tant de nos concitoyens aujourd'hui.
S'agissant des deux chambres, on constate, d'année en année, la perpétuation du prélèvement sur disponibilités : 24,9 millions d'euros pour le Sénat cette année ; 46,9 millions d'euros pour l'Assemblée nationale. Jusqu'à quand pourra-t-on fonctionner ainsi ?