Lorsque des lignes structurantes comme les trains d’équilibre du territoire, les TET, font l’objet de travaux de régénération et de modernisation de leurs infrastructures, l’État peut mener ces opérations de manière concomitante, quand cela permet de les optimiser sur le plan financier comme des délais et de limiter les nuisances pour les usagers.
L’État s’est engagé à régénérer et à moderniser des lignes structurantes, comme les TET Paris-Clermont-Ferrand et Paris-Toulouse. Le schéma directeur relatif au TET Paris-Clermont-Ferrand prévoit trois phases de travaux : un programme de régénération des infrastructures, un renouvellement du matériel roulant et un programme de modernisation des infrastructures.
Il paraît pertinent, tant au niveau budgétaire pour l’État et les régions participantes dans le cadre des contrats de plan État-région qu’au niveau de l’efficience des travaux et des perturbations entraînées par ceux-ci pour les usagers, que les phases de régénération et de modernisation des infrastructures aient lieu concomitamment.
De plus, les travaux de modernisation ont pour objet, dans le cadre du Paris-Clermont-Ferrand, de permettre une réduction notable du temps de trajet. C’est l’un des objectifs essentiels de ces travaux, dont le résultat sera directement ressenti par les usagers. Il n’en est que plus nécessaire d’effectuer les travaux de manière concomitante.