Nous travaillons sur un projet de loi qui va apporter des solutions au mieux dans une dizaine d’années. Or pendant que nous préparons l’avenir, l’urgence est là, autour de nous, dans ces services en grève. Il n’y a certes pas de solution unique, avez-vous dit, madame la ministre, mais il y a des solutions qui sont aujourd’hui réclamées par les personnels urgentistes.
Ces solutions consistent à mettre un terme aux fermetures de lits, à recruter de nouveaux soignants et à payer les heures supplémentaires. Ce n’est pas à l’ordre du jour de nos débats, mais c’est à l’ordre du jour dans le pays !