Je voudrais tout d’abord remercier M. le rapporteur général d’avoir imaginé une solution qui permette de régler d’un coup un certain nombre de problèmes, sans pour autant, monsieur le ministre, dégrader les comptes de l’État.
C’est le premier argument que j’avancerai, monsieur le ministre, pour tenter de vous faire revenir sur votre avis défavorable.
Cette question soulève en effet plusieurs problèmes. La solution imaginée par notre collègue Jean-Pierre Fourcade pour le financement du Grand Paris, nous l’avons dit et redit, madame Bricq, n’était pas forcément la meilleure.