Les amendements que nous venons de voter viseront 48 % du parc privé et 5 % du parc social, selon le rapport du Haut Conseil paru en juin.
Si nous avançons de surcroît l’échéance d’une année, nous placerons vraiment le secteur du logement dans une situation de grande précarité, soit l’inverse du résultat visé. En effet, de nombreux bailleurs basculeraient alors dans l’illégalité, et nous fabriquerions progressivement de nouveaux marchands de sommeil – je parle sous le contrôle de notre collègue Dominique Estrosi Sassone, qui connaît le sujet encore mieux que moi.
L’avis de la commission est donc franchement défavorable.