Monsieur le président, madame la secrétaire d’État, mes chers collègues, je commencerai en saluant Pascale Bories, rapporteure pour avis de la commission du développement durable sur ce texte, ainsi que Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques.
J’ai déjà employé la formule en commission, mais elle est toujours vraie : malgré l’inflation du nombre de ses articles, la « petite loi énergie » l’est encore, sans conteste, par son manque de vision stratégique à long terme.