C’est, avant tout, une question de responsabilité politique. Il faut s’assurer de l’intérêt, indissociable, des salariés et des entreprises. Voilà pourquoi je ne souhaite pas dissocier les négociations d’entreprises, qui ont lieu en début d’année, et cette revalorisation du 1er janvier, laquelle me semble vraiment s’inscrire dans une logique de cohérence.