Du reste, les choses se passent beaucoup plus finement qu’avec le « passer-outre ». Le pourcentage de 6 % ne traduit pas la réalité de l’emprise préfectorale.
On a fait comprendre aux communes gentiment, ou plus fermement si cela ne suffisait pas, qu’il valait mieux se marier avec celle-ci plutôt qu’avec celle-là, même si cela ne correspondait pas aux bassins de vie.
Résultat, depuis trois ans, régulièrement, on passe toute une séance de la CDCI à démarier certaines communes et à organiser les mariages qui auraient dû être faits initialement, au grand dam des communes concernées, qui ont perdu deux ans dans l’histoire.
Je maintiens donc mon amendement, monsieur le président.