Il s’agit d’un amendement à la marge.
Le rapport annexé précise que la composante terrestre constituera une force opérationnelle de 88 000 personnes à l’horizon de 2014, mais, dans le contexte économique actuel, nous pouvons mesurer toutes les difficultés liées aux reconversions. Ainsi, ne pas remplacer un fonctionnaire partant à la retraite sur deux risque de poser des problèmes.
Par conséquent, je suggère d’introduire un peu de souplesse dans des prévisions quelque peu mécaniques, en prévoyant plutôt, en l’occurrence, que l’armée de terre constituera une force « d’au moins 88 000 personnes ».