La concrétisation de la volonté de réduire la pollution plastique est beaucoup trop lente par rapport aux enjeux. Lorsque l'on ferme la porte aux plastiques, d'autres rentrent par la fenêtre... Il faudra être vigilant sur ce sujet.
Je veux vous interroger sur la gestion de l'après-mines, notamment sur l'action qui vise à limiter les séquelles éventuelles des exploitations minières sur la sécurité des personnes et des biens, en supprimant les risques miniers résiduels par des travaux de mise en sécurité.
Dans la vallée de l'Orbiel, qui est certainement, aujourd'hui, le site le plus pollué de France, une inondation et, peut-être, une mauvaise gestion ont provoqué une pollution durable, avec notamment une contamination à l'arsenic des enfants de la vallée et une interdiction de mise sur le marché des légumes qui y sont cultivés. Alors que la pollution était très localisée, elle s'est répandue dans toute la vallée.
Les moyens consacrés à la gestion de l'après-mines sont-ils à la hauteur des besoins ? Quelles erreurs ont été commises ?