Comme cela vient d’être indiqué, cet amendement vise à geler, pour les six premiers mois de l’année, l’évolution des dépenses relatives au GVT et les mesures de revalorisation.
Il est vrai que la maîtrise de la masse salariale de l’État constitue un enjeu fondamental pour l’assainissement de nos finances publiques. Toutefois, la commission des finances a déjà présenté des amendements visant à maîtriser ces dépenses : ils ont pour objet le temps de travail, le jour de carence et les « primo-recrutements ».
Elle émet donc un avis défavorable sur cet amendement.