Si l’on veut aller vers une agriculture utilisant moins de produits phytosanitaires, il faut s’en donner les moyens.
Au travers de cet amendement, que j’ai cosigné avec les deux autres rapporteurs pour avis, nous proposons de mobiliser 1 million d’euros en faveur de la recherche de solutions pour pallier l’éventuelle interdiction de certains produits phytosanitaires à l’avenir. Il s’agit de se poser les bonnes questions au bon moment, plutôt que de prendre des décisions trop hâtives. C’est le bon sens !