Ces amendements ont déjà été présentés l’année dernière et la commission a alors émis un avis défavorable ou en a demandé le retrait. S’ils étaient adoptés cette année, les parlementaires seraient associés à presque toutes les réunions d’attribution des dotations. Quant à la DSIL, elle serait quelque peu détournée de sa vocation initiale.
Nous savons tous que de telles mesures risquent de rigidifier et d’alourdir le processus, pour un résultat somme toute relativement faible : les parlementaires devraient se déplacer systématiquement, mais ne pourraient s’exprimer que pour avis. Or, grâce à certains amendements dont nous avons été à l’initiative, l’ensemble des données dont il est question sont désormais publiées.
En qualité de parlementaire, on a souvent beaucoup plus d’influence en dehors des grandes réunions…