Monsieur Bas, j’ai peut-être été excessif dans mon propos, mais reconnaissez que ce n’est pas la première fois que nous débattons de ces sujets.
Au-delà de la DSIL et de la DETR, si ces amendements étaient adoptés, les parlementaires devraient examiner préalablement presque tous les dossiers de subvention établis dans nos départements. Bientôt, nous n’aurions plus guère le temps de venir au Parlement ! §En outre, je doute que l’étude de ces dossiers soit réellement de notre ressort…
Il est possible que les choses se passent mal dans certains départements. Personnellement, je n’en ai pas l’expérience ; pourtant, en tant qu’élu, j’ai connu un certain nombre de préfets. Ce dont je suis convaincu, c’est que, dans l’immense majorité des cas, ce travail se passe bien. Doit-on mettre en œuvre un système aussi complexe au nom d’une transparence absolue ? Je ne le pense pas.