La question de la répartition de l’IFER se pose de manière de plus en plus aiguë, car les projets d’installation d’éoliennes émergent en nombre. En effet, alors que les maires sont en première ligne pour faire accepter les éoliennes et doivent faire preuve de pédagogie, parfois de courage, pour autoriser les installations de production électrique d’origine éolienne, les communes ne sont pas les premières bénéficiaires de l’IFER.
Je propose donc de porter la part de la commune à 50 % au travers de l’amendement n° II-602 rectifié ter ou à 30 % au travers de l’amendement de repli n° II-603 rectifié ter. Il s’agit, je le rappelle, de l’une des propositions formulées l’année dernière par le groupe de travail sur l’éolien.