Effectivement, la coopération m'apparaît comme une nécessité. Il y a, pour aller plus loin, un travail fondamental d'approfondissement de la mémoire collective à mener. Nous ne l'avons pas encore assumé. Or une restitution sèche ne permet pas ce travail ; pour le mener à bien, il faut coopérer, travailler ensemble.
L'Unesco est un lieu de débats, mais, dans cette affaire, nous ne pouvons nous contenter de débats. La France a souvent eu un rôle pionnier dans le domaine des musées ; l'Unesco et le Conseil international des musées (ICOM) l'ont souvent suivie. C'est à nous d'élaborer une doctrine !