Vous disposez du rapport. Je trouve dommage qu'on ne fasse pas état de l'avancée de la réflexion. Je comprends la décision du ministre de la culture de faire du cas par cas. Sur les restes humains, le cadre de discussion doit être apaisé et collaboratif. On pourra l'étendre par la suite à toutes les restitutions. Une thèse sur la restitution des biens africains a récemment incité à regarder au cas par cas plutôt que de poursuivre une démarche globale.