Il est difficile de trouver les mots adéquats, si tant est qu’ils puissent exister face à ce genre de situation.
Comme l’a souligné madame la rapporteure, ce sont les associations elles-mêmes qui ont relevé une forme de contradiction entre les termes « congé » et « deuil », raison pour laquelle celui de « répit » avait été envisagé, même si, de répit, il n’y en aura jamais suffisamment pour surmonter une telle situation.
Le Gouvernement s’en remet à la sagesse du Sénat.