Je partage l’avis de notre rapporteure et de notre ministre, mais à une condition : que les agents de la forêt soient effectivement chargés de la forêt.
Or, on est en train de les habiliter à faire encore un peu plus de répression, ce qui est une dérive.
Nous avons besoin que les agents de la forêt s’occupent des arbres. Nous avons besoin qu’ils veillent sur nos forêts !
Je souscris aux propos que notre collègue Marie-Noëlle Lienemann a tenus : comme je l’ai dénoncé à plusieurs reprises, monsieur le ministre, mes chers collègues, on n’en serait pas là dans le Grand Est s’il y avait eu plus de personnels pour observer les crises de scolytes et si l’on avait procédé comme on l’a fait il y a un demi-siècle.