En réalité, c’était impossible à organiser cette semaine, parce qu’une telle solution exige des mesures qui doivent être préparées. Cela veut dire que, même si nous privilégions l’hypothèse dans laquelle les conseils municipaux pourront se réunir – je le souhaite de tout cœur –, il faut que vous soyez prêt, monsieur le ministre, pour le vote par correspondance, pour le vote électronique et pour le vote à l’urne, ce dernier soulevant aussi des questions délicates.
C’est la raison pour laquelle nous souhaitons – c’est l’objet de l’amendement n° 95 rectifié – ouvrir des possibilités nouvelles qu’il faut que vous prépariez, afin qu’elles soient mûres à la fin du mois de juin, si d’aventure nous avions besoin d’y recourir.