Mon cher collègue, je comprends toutes les difficultés que vous avez exposées. Mais, si nous n’organisons pas en juin l’élection des conseillers des Français de l’étranger, nous ne pourrons pas organiser en septembre les élections sénatoriales.
Nous faisons donc face à une très lourde difficulté. Quand bien même suis-je défavorable à votre amendement, je vous remercie de l’avoir déposé parce qu’il m’offre l’occasion d’interroger le Gouvernement. Que pouvez-vous faire, monsieur le ministre, pour régler ce problème et permettre, malgré les difficultés qui peuvent surgir ici ou là, dans le monde, en raison de l’épidémie de coronavirus, que ces élections des délégués des Français de l’étranger puissent avoir lieu dans les meilleures conditions possible ?