Non ! Cet argument est tout à fait recevable. Mais, en ce qui me concerne, je considère que les risques sanitaires sont de nature différente selon qu'il s'agit, d'une part, d'aller chez le boulanger, chez le boucher, à la préfecture pour déposer une liste, ou, d'autre part, de réunir un conseil municipal où l'on va phosphorer, à quinze, à vingt ou à trente-cinq, sur la répartition des postes.
Je comprends bien l'argument, cependant : la sécurité sanitaire étant une exigence absolue, il faut viser le risque zéro.