À côté de la situation en Afrique, que notre commission suit de près, nous sommes également préoccupés par les zones de guerre. Je voudrais évoquer la question de l'Irak, de la Syrie et du Liban, trois pays en interaction très forte.
En Syrie, après la période de guerre, la crise sanitaire vient s'ajouter à une situation économique dramatique pour la population. Les humanitaires, les ONG et même les Églises rencontrent les plus grandes difficultés, non pas tant en raison des sanctions, qui ont été adaptées, mais surtout de la pesanteur de la position américaine.
Face à cette situation, le secrétaire général de l'ONU, M. António Guterres, le pape et le Président Macron ont appelé à la mobilisation du Conseil de sécurité. Pouvez-vous nous dire ce qu'il en est de la situation au sein du Conseil de sécurité et de la situation au Moyen-Orient, en particulier en Syrie ?